Amy Robichaud

Amy est la fille de Lore, la petite-fille de Rae et l’arrière-petite-fille de Rita.

Elle est actuellement PDG du centre Les mères comptes Canada et a été auparavant directrice générale de la fondation Dress for Success Vancouver, directrice de l’engagement à la Minerva Foundation for BC Women, et consultante en développement et en gouvernance auprès d’organismes tels que la RBC Fondation, le Centre mondial du pluralisme et l’Association canadienne pour la santé mentale.

La volonté d’Amy de trouver des moyens concrets pour favoriser l’équité, l’inclusion économique et la prospérité de l’ensemble de la population influence tout ce qu’elle entreprend, y compris son travail bénévole. Elle exerce actuellement son second mandat à la présidence du Comité consultatif des femmes de la Ville de Vancouver, apportant son expertise au Conseil et au personnel en vue de renforcer l’accès et l’inclusion des femmes et des filles pour leur permettre de jouer un rôle actif dans les services de la Ville et la vie citoyenne. Elle a aussi occupé le poste de présidente de la fondation Dress for Success Canada et a reçu le prix Femmes de mérite du YWCA de Vancouver en 2023. Elle est membre du Banff Forum et de l’organisme WNORTH.

Amy et son mari ont habité dans plusieurs régions à travers le Canada et résident aujourd’hui avec bonheur et humilité sur les terres non cédées, ancestrales et traditionnelles des nations xʷməθkʷəy̓əm, Sḵwx̱wú7mesh et səlilwətaɬ, avec leurs animaux de compagnie et leur bibliothèque verdoyante.

À propos du centre Les mères comptent Canada

Les mères comptent Canada (MCC) est un organisme national qui se consacre à l’émancipation des mères à faible revenu et isolées sur le plan social en proposant des programmes novateurs, fondés sur des données probantes, qui favorisent l’éducation des jeunes enfants, renforcent les liens parents-enfants et facilitent l’intégration communautaire. Grâce à divers partenariats et actions de sensibilisation, le centre s’efforce de briser les cycles de la pauvreté et de l’isolement, en veillant à ce que les mères et leurs enfants réalisent leur plein potentiel et s’épanouissent dans des communautés accueillantes et inclusives. Lorsque les mères s’accomplissent, les enfants prospèrent et les communautés se fortifient.

Eva Jewell

Eva Jewell est une Anichinabée de Deshkan Ziibiing (Première Nation des Chippewas de la Thames) dans le sud-ouest de l’Ontario, et issue de la lignée paternelle de la Nation Oneida de la Thames. Ses recherches portent sur la réappropriation culturelle et politique anichinabée, l’expérience autochtone en matière de travail et de soins, et la responsabilité dans le processus de réconciliation. Eva est professeure adjointe au Département de sociologie de l’Université métropolitaine de Toronto et directrice de recherche à l’Institut Yellowhead, un groupe de réflexion en matière de politiques dirigé par des Autochtones qui propose des perspectives critiques en vue de renforcer la compétence autochtone.

Simona Bignami

Simona Bignami est démographe et se spécialise dans les méthodes quantitatives et l’étude des dynamiques familiales. Elle porte un intérêt général à la relation entre l’influence sociale, la dynamique familiale et les conséquences et les comportements sur le plan démographique, ainsi qu’à la mesure dans laquelle les données empiriques permettent de comprendre cette relation. Ses travaux les plus récents s’attardent aux dynamiques familiales des personnes migrantes et des minorités ethniques, avec l’objectif d’améliorer leur évaluation à l’aide de données et de méthodes novatrices, en plus de mieux comprendre leurs répercussions sur les plans démographique et sanitaire. Ses recherches sur ces thèmes s’inscrivent dans une perspective comparative, allant des pays en développement aux pays développés. Bien que ses travaux soient principalement quantitatifs, elle a acquis une expérience dans la collecte de données d’enquête auprès de ménages, ainsi que dans la réalisation d’entretiens qualitatifs et l’organisation de groupes de discussion dans divers contextes.

Robin McMillan

Au cours de sa carrière, Robin McMillan a passé plus de 30 ans à travailler dans le secteur de la petite enfance. Elle a d’abord travaillé comme éducatrice pendant huit ans auprès d’enfants d’âge préscolaire. Puis elle a quitté la première ligne afin de développer des ressources pour les praticiennes et praticiens à la Fédération canadienne des services de garde à l’enfance (FCSGE). Elle travaille à la FCSGE depuis 1999, où elle est passée d’assistante de projet à gestionnaire de projet, puis à son rôle actuel de conceptrice de projets, de programmes et de partenariats. Plusieurs réalisations ont marqué sa carrière à la FCSGE, notamment la gestion de plus de 20 projets nationaux et internationaux, y compris un projet de l’ACDI en Argentine et la présentation d’un rapport avec l’honorable sénateur Landon Pearson au Comité des droits de l’enfant à Genève, en Suisse.

Robin a été membre du conseil d’administration de l’Ottawa Carleton Ultimate Association pendant deux ans et a participé à l’organisation de nombreux événements caritatifs locaux. Elle a fondé et animé un groupe local de soutien aux parents, Ottawa Parents of Children with Apraxia (Parents d’enfants atteints d’apraxie à Ottawa), ainsi qu’un groupe national, Apraxia Kids Canada (L’apraxie chez les enfants au Canada). Elle est mariée et a un fils de 17 ans atteint d’un grave trouble de la parole (apraxie verbale) et d’une légère déficience intellectuelle, ce qui l’a propulsée dans le monde du plaidoyer pour le soutien à la parentalité. Elle a d’ailleurs reçu le prix de défenseure de l’année en 2010, décerné par la Childhood Apraxia of Speech Association of North America.

À propos de l’organisme : Nous représentons la communauté du secteur de l’apprentissage et de la garde des jeunes enfants au Canada, à savoir l’ensemble des professionnel·les et des praticien·nes d’un océan à l’autre. Nous donnons voix à la passion, à l’expérience et aux pratiques en matière d’apprentissage et de garde des jeunes enfants (AGJE) au pays. Nous mettons de l’avant des recherches novatrices en matière de politiques et de pratiques afin de mieux éclairer le développement et la prestation des services. Nous faisons preuve de leadership sur les enjeux qui touchent notre secteur, ayant foi en notre capacité d’influencer positivement la vie des jeunes enfants, à savoir notre véritable objectif, notre raison d’être. Les sujets abordés, explorés et communiqués au sein de notre communauté ont le potentiel de transformer des vies et nous en avons pleinement conscience. Nous sommes une force engagée et passionnée en faveur d’un changement positif là où ça compte le plus, c’est-à-dire auprès des enfants.

Liv Mendelsohn

Liv Mendelsohn, M.A., M.Ed., est directrice générale du Centre canadien d’excellence pour les aidants, où elle dirige des initiatives en matière d’innovation, de recherche, de politiques et de programmes visant à soutenir les personnes aidantes et les prestataires de soins au Canada. Leader visionnaire comptant plus de 15 ans d’expérience dans le secteur à but non lucratif, Liv est aidante depuis fort longtemps et vit elle-même avec un handicap. Son expérience en tant que membre de la « génération sandwich » alimente son aspiration envers la création d’un mouvement pour les personnes aidantes au Canada afin de changer la façon dont la prestation de soins est perçue, valorisée et soutenue.

Au cours de sa carrière, Liv a fondé et dirigé plusieurs organismes axés sur l’incapacité et la prestation de soins, notamment le Wagner Green Centre for Accessibility and Inclusion ainsi que le festival du film de Toronto ReelAbilities. Liv est présidente du comité consultatif sur l’accessibilité de la Ville de Toronto. Elle a reçu le Prix pour l’équité décerné par la Ville de Toronto et a été reconnue pour son leadership par la University College, l’Université de Toronto, l’organisme Enfants avenir Ontario et les centres communautaires juifs d’Amérique du Nord. Liv est agrégée supérieure de recherche au Massey College et diplômée du Mandel Institute for Non-Profit Leadership ainsi que du programme de bourses DiverseCity de la CivicAction Leadership Foundation.

À propos de l’organisme : Le Centre canadien d’excellence pour les aidants appuie et habilite les personnes aidantes et les prestataires de soins, favorise l’avancement des connaissances et la capacité d’agir dans le domaine des soins, et plaide en faveur de politiques sociales efficaces et visionnaires, tout en privilégiant une approche qui se veut à l’écoute des personnes ayant une incapacité. Notre expertise et nos connaissances, tirées des expériences vécues des personnes aidantes et des prestataires de soins, nous aident à faire campagne pour de meilleurs systèmes et un changement durable. Nous sommes plus qu’un simple bailleur de fonds; nous travaillons en étroite collaboration avec nos partenaires et nos bénéficiaires pour atteindre des objectifs communs.

Susan Prentice

Susan Prentice est professeure du programme d’études gouvernementales Duff Roblin à l’Université du Manitoba, où elle enseigne la sociologie. Elle se spécialise dans les politiques familiales, et plus particulièrement dans les politiques liées à la garde des enfants. Elle a publié de nombreux travaux sur les politiques familiales et liées à la garde des enfants, dont les plus récents sont accessibles sur sa page de profil de l’UM. Elle donne des cours sur les politiques familiales aux premier et deuxième cycles universitaires. Susan travaille en étroite collaboration avec des groupes provinciaux et nationaux qui font la promotion des services de garde et est membre du comité de direction de la Child Care Coalition of Manitoba.

En bref : L’IMPACT DE LA COVID-19 sur les Autochtones ayant un problème de santé de longue durée ou une incapacité

Série En bref de l’Institut Vanier : Mobiliser la recherche sur les familles au Canada

Diana Gerasimov

23 février 2021

ÉTUDE : Hahmann, T. « Changements survenus dans la santé, l’accès aux services de santé et la capacité de respecter les obligations financières chez les Autochtones ayant un problème de santé de longue durée ou une incapacité depuis le début de la pandémie de COVID-19 », StatCan et la COVID-19 : Des données aux connaissances, pour bâtir un Canada meilleur, no 45-28-0001 au catalogue de Statistique Canada (1er février 2021). Lien : https://bit.ly/3azp1O9


La pandémie de COVID-19 a perturbé les services de santé et les programmes d’aide personnelle, entraînant des fermetures et la réduction des soins disponibles pour certaines familles. Or, les recherches montrent une prévalence plus élevée d’incapacités et de problèmes de santé préexistants chez les Autochtones au Canada, ce qui est susceptible d’accroître leur vulnérabilité aux effets sur la santé et aux répercussions socioéconomiques de la pandémie. Les conclusions de l’enquête ont également démontré les effets de la pandémie sur la capacité de répondre aux besoins fondamentaux, notamment les besoins en aliments et en logement, chez les Autochtones ayant une incapacité ou un problème de santé de longue durée.

De juin à juillet 2020, Statistique Canada a mené une enquête de production participative auprès de plus de 13 000 personnes de 15 ans et plus qui disaient avoir un problème de santé de longue durée ou une incapacité. Parmi les personnes qui ont répondu au questionnaire, environ 600 étaient membres des Premières Nations, Métis ou Inuits.

  • Davantage de participants autochtones que de participants non autochtones ayant une incapacité ou un problème de santé de longue durée ont fait état d’une détérioration de leur santé depuis le début de la pandémie de COVID-19.
  • Plus de 57 % des participants autochtones ayant une incapacité ou un problème de santé de longue durée ont déclaré que leur santé globale s’était détériorée comparativement à avant la pandémie, par rapport à 47 % des participants non autochtones.
  • Quelque 64 % des participants autochtones ayant une incapacité ou un problème de santé de longue durée ont affirmé que leur santé mentale était « beaucoup moins bonne » ou « un peu moins bonne ».
  • Les participants autochtones ayant une incapacité ou un problème de santé de longue durée étaient plus susceptibles de faire état de perturbations dans les services suivants : les soins médicaux ou dentaires (54 %), la physiothérapie, la massothérapie ou les traitements chiropratiques (40 %), les tests médicaux (38 %) ainsi que les services de conseil (32 %).
  • Plus de participants autochtones que de participants non autochtones ayant une incapacité ou un problème de santé de longue durée ont témoigné de répercussions « modérées » ou « majeures » sur leur capacité de répondre à leurs besoins essentiels depuis le début de la pandémie.
  • Plus de la moitié des participants autochtones ont signalé des répercussions « modérées » ou « majeures » sur leur capacité de répondre à leurs besoins en alimentation et en épicerie (54 %) ainsi qu’à leurs besoins en équipement de protection individuelle (52 %), un facteur qui revêt une importance capitale pour atténuer les risques de contracter la COVID-19.

Diana Gerasimov est titulaire d’un baccalauréat en communication et études culturelles de l’Université Concordia.

Consultez l’étude complète

 

Faits et chiffres : les familles autochtones au Canada

L’Institut Vanier de la famille reconnaît et valorise la place des familles autochtones au Canada, qui portent toute la richesse et le dynamisme des nations vivant sur le territoire depuis des temps immémoriaux1. À l’heure d’engager un dialogue avec les communautés autochtones pour jeter les bases d’un ensemble de données qui serviront à étayer un processus décisionnel factuel, nous reconnaissons l’importante diversité des réalités et des expériences des peuples autochtones, notamment les familles des Premières Nations, des Métis et des Inuits. Par conséquent, la présentation des données et des statistiques dans cette ressource est axée sur des groupes ciblés, dans la mesure du possible.

Comme toutes les familles du Canada, les familles autochtones se caractérisent par leur grande diversité et leur volonté de s’adapter ou de réagir aux tendances socioéconomiques, culturelles et contextuelles. Le document Faits et chiffres : les familles autochtones au Canada met en relief diverses données de Statistique Canada illustrant les réalités familiales propres aux Autochtones du Canada.

Quelques faits saillants2

  • En 2016, environ 977 000 Canadiens s’identifiaient aux Premières Nations, 758 000 aux Métis et 65 000 aux Inuits, soit des populations à croissance rapide qui devraient représenter collectivement 2,0 à 2,6 millions de personnes d’ici 2036.
  • En 2016, l’âge moyen parmi les Premières Nations (30,6 ans), les Métis (34,7 ans) et les Inuits (27,7 ans) au Canada était inférieur de près de dix ans à celui de leurs homologues non autochtones (40,9 ans).
  • En 2016, la proportion des enfants de 4 ans et moins vivant avec au moins un de leurs grands-parents était de 21 % chez les Premières Nations, de 11 % chez les Métis et de 23 % chez les Inuits (soit des proportions plus élevées que chez leurs homologues non autochtones, à 10 %).
  • En 2016, 23 % des Premières Nations, 9 % des Métis et 41 % des Inuits vivaient dans un logement surpeuplé, comparativement à 9 % chez leurs homologues non autochtones.
  • En 2016, plus de la moitié (51 %) de tous les enfants de 4 ans et moins en foyers d’accueil au Canada étaient Autochtones, même si ceux-ci ne représentaient que 7,7 % de tous les enfants de ce groupe d’âge.

 

Téléchargez le document Faits et chiffres : les familles autochtones au Canada (juin 2018), publié par l’Institut Vanier de la famille.

La terminologie employée pour désigner les peuples autochtones et leur identité est en constante évolution. Nous avons cherché à cerner et à privilégier la terminologie la plus actuelle tout en admettant qu’il existe toujours des préférences personnelles et diversifiées. Au fil de ce dialogue, n’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires, à l’adresse : publications@institutvanier.ca.

Notes


  1. Autorité sanitaire des Premières Nations (ASPN), « FNHA and the Truth and Reconciliation Commission Report » dans First Nations Health Authority Support for Truth and Reconciliation Recommendations (2015).
  2. Pour plus de détails sur les sources d’informations, consultez le feuillet de renseignements.

Fiche infographique : la diversité familiale au Canada (mise à jour au Recensement de 2016)

Téléchargez la fiche infographique La diversité familiale au Canada (mise à jour au Recensement de 2016).


 

Depuis plus de cinquante ans, l’Institut Vanier de la famille s’intéresse à la vie familiale et aux familles elles-mêmes au Canada. Au terme de ce demi-siècle consacré à l’étude des familles d’un océan à l’autre, de même qu’aux échanges et aux interactions avec celles-ci, un constat s’impose : la diversité des familles au Canada n’a d’égal que celle des gens qui les composent.

D’ailleurs, il n’y a là rien de nouveau, que l’on s’intéresse aux structures familiales, aux identités familiales, aux modes de cohabitation de la famille, aux modes de vie des familles, à la réalité familiale, ou encore aux traits individuels des membres de la famille, notamment leur appartenance ethnoculturelle, leur statut d’immigrant, leur orientation sexuelle ou leurs compétences diverses.

Nos vies, nos milieux de travail et nos collectivités bénéficient de la participation précieuse et unique de nos parents, nos enfants, nos grands-parents, nos arrière-grands-parents, nos oncles et nos tantes, nos frères et nos sœurs, nos cousins et nos amis ainsi que nos voisins. Selon le mot de l’ancien gouverneur général du Canada, Son Excellence le très honorable David Johnston, à l’occasion de la Conférence sur les familles au Canada 2015 : « Les familles, peu importe leur origine ou leur composition, apportent une couleur nouvelle et particulière à la tapisserie canadienne diversifiée. »

L’Institut Vanier a produit une fiche infographique sur la diversité familiale au Canada à partir des nouvelles données du Recensement de 2016.

Quelques faits saillants :

  • 66 % des familles au Canada comptent un couple marié, 18 % comptent un couple en union de fait, et 16 % sont des familles monoparentales, soit autant de structures familiales en perpétuelle évolution.
  • On compte 518 000 familles recomposées au pays, soit 12 % des couples avec enfants de moins de 25 ans.
  • Le Canada compte quelque 404 000 ménages multigénérationnels1, et près de 33 000 enfants canadiens vivent au sein d’un ménage sans génération intermédiaire2.
  • 1,7 million de personnes se réclament d’identité autochtone au Canada (Premières Nations : 58,4 %; Métis : 35,1 %; Inuits : 3,9 %; autres : 1,4 %; identités autochtones multiples : 1,3 %).
  • Au Canada, 360 000 couples vivent en union mixte3, soit 4,6 % de tous les couples mariés ou en union de fait.
  • Le Recensement de 2016 dénombre 73 000 familles formées d’un couple de même sexe. Parmi celles-ci, 12 % ont des enfants à la maison.
  • Le Canada compte 54 000 familles de militaires (soit 40 000 au sein de la Force régulière et 14 000 dans la Force de réserve).

 

Téléchargez la fiche infographique La diversité familiale au Canada (mise à jour au Recensement de 2016).

Cette publication bilingue présente un caractère intemporel puisqu’elle sera régulièrement mise à jour en fonction des nouvelles données (versions antérieures disponibles sur demande). Souscrivez à notre infolettre mensuelle pour rester au fait des actualités et vous renseigner au sujet des publications, des projets et des initiatives de l’Institut Vanier.

 

Notes


  1. Comptant au moins trois générations.
  2. En cohabitation avec les grands-parents sans la présence d’une génération intermédiaire (c’est-à-dire en l’absence des parents).
  3. Selon Statistique Canada, les unions mixtes désignent « les couples au sein desquels un conjoint ou partenaire fait partie d’un groupe de minorités visibles, mais pas l’autre, ainsi que les couples où les deux conjoints ou partenaires appartiennent à des groupes de minorités visibles différents ». Lien : http://bit.ly/1rf5Qw6

Faits et chiffres : les familles autochtones au Canada

Saviez-vous que le Canada compte plus de 1,4 million d’Autochtones, et que près des trois dixièmes d’entre eux sont des enfants? Saviez-vous que la moitié des enfants et des jeunes en famille d’accueil au pays sont des Autochtones, même s’ils ne représentent que 7 % de tous les enfants?

Comme toutes les familles du Canada, les familles autochtones se caractérisent par leur grande diversité et leur volonté de s’adapter ou de réagir aux tendances socioéconomiques, culturelles et contextuelles. Notre plus récente parution de la série « Faits et chiffres » met en relief diverses données de Statistique Canada illustrant les réalités familiales propres aux Autochtones du Canada.

Téléchargez le document Faits et chiffres : les familles autochtones au Canada publié par l’Institut Vanier de la famille.

 


Publié le 20 juin 2017